Une tribu indigène est engagé dans une lutte à mort contre les intérêts des grandes entreprises d'inondation de leurs terres.
| Loin de sa capitale occupée et célèbre canal, le Panama est l'un des pays les plus écologiquement diversifiées au monde. Pourtant, d'énormes nouveaux projets de barrages hydroélectriques sont actuellement en cours voyant rivières vierges forêt maudite et vierge inondées. Le gouvernement affirme qu'il est vital pour la croissance économique, les grandes entreprises est l'encaissement de l'ONU et même a attribué des crédits de carbone sur la base que l'énergie qui en résulte sera «durablement» produit. Mais pour les gens Ngabe autochtones - dont les maisons disparaissent sous l'eau - c'est une catastrophe. Alors, ils ont été contre-attaque. Le cinéaste Glenn Elis allé à Panama pour les personnes et alimentation pour en savoir plus.
Panama le plus grand groupe autochtone, le Ngabe, avait décidé de prendre position contre l'empiétement illégal de leur patrie. Depuis l'époque des conquistadors, l'Ngabe ont été repoussés aux marges du pays - forcés de vivre sur la terre que personne ne voulait. Il ya vingt ans le gouvernement panaméen a finalement cédé ce qui a été considéré comme un appareil inutile de la terre pour eux. Le Ngabe avait en fait vécu là depuis des siècles, donc par les droits qu'il a toujours été la leur. Mais maintenant cette terre, riche en gisements minéraux et des rivières, est considéré comme une valeur inestimable. Et Ricardo Martinelli, président autoritaire du Panama, qui est un ami proche de l'ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi, il veut revenir. Son plan est d'ouvrir le cœur à Ngabe compagnies minières étrangères et pousser les projets hydroélectriques sur une population récalcitrante. Le problème, c'est que le Ngabe n'ont nulle part où aller. Ainsi, le décor était planté pour une épreuve de force dramatique, qui a commencé lorsque le Ngabe fermé l'autoroute pan-américaine dans la province de Chiriqui, à l'ouest du pays - qui porte le Panama à l'arrêt. Leur demande: une audience avec le président. Réponse Martinelli a été extraordinaire pour ce pays relativement calme, avec une constitution qui interdit la formation d'une armée. La police, qui disent des observateurs des droits humains sont devenus de plus en plus militarisée depuis Martinelli devient président il ya trois ans, a lancé une répression brutale, couper les communications avec le monde extérieur, et avoir tiré des passants innocents ainsi que les manifestants pacifiques. Rapports hersage surfacés de viols et les mauvais traitements infligés à des détenus, comme des dizaines d'hommes Ngabe, femmes et enfants ont été arrêtés. Au moins deux personnes ont été tuées et plusieurs autres ont été blessés. La répression a duré trois jours et se révèlent si impopulaire avec les Panaméens, qui Martinelli a été contraint à des négociations avec le Ngabe. Ouverture d'incendie Les pourparlers avaient lieu à l'édifice de l'Assemblée nationale dans le centre de la ville de Panama et des dizaines de familles Ngabe avait mis en place à proximité du camp de montrer le soutien de Silvia Carerra, leur chef élu qui est connu sous le nom Casica. C'est là que mon équipage et moi mis en place notre caméra sur mon premier jour au Panama pour interviewer quelques-unes des personnes qui avaient parcouru des centaines de miles à faire valoir leur point. Nous avions juste commencé à interviewer une jeune femme et l'enfant lorsque des coups de feu retentit dans l'air. La police avait ouvert le feu sur les manifestants. Il y avait des blessures de fusil de chasse de plusieurs, aucun sérieux, mais tout de même méchant. Il semblait inexplicable. Pourquoi tirer sur une foule remplie de femmes et d'enfants, en particulier à un moment où leur chef était en négociation avec le gouvernement? Il est possible que le gouvernement n'a jamais été aussi désireux de parler à la Ngabe en premier lieu et qu'il s'agissait d'une tentative de provoquer une réaction qui serait forcer l'annulation des pourparlers. Si tel était le plan, cela n'a pas fonctionné. Le Casica n'avait pas l'intention de laisser le gouvernement a mis l'ordre du jour et les pourparlers se sont poursuivis. Mais comme je l'ai feuilleté les canaux dans ma chambre d'hôtel tard dans la nuit j'ai eu un aperçu de la relation moins parfaite entre le gouvernement et les médias ici. Les médias panaméens TV réalisé la version de la police d'événements - que les jeunes ivres Ngabe était allé sur le saccage. C'était une histoire que je connaissais pour un fait est loin de la vérité. Un petit coin de paradis Le lendemain, un des soi-disant 'ivrognes, une buveuse d'eau par le nom de Ricardo, nous a invités dans son village. Il était un six heures de route de Panama City suivie d'une randonnée épuisante à travers la jungle de montagne. Mais rien n'aurait pu me préparer pour la beauté de Kia - un oisillon de règlement sur les rives de la rivière Tabasará. Voici la Ngabe se sont taillé un petit morceau de paradis pour eux-mêmes, et j'ai vu à la fois pourquoi ils se battent si fort pour le protéger. Il ya une école de plein air où les enfants sont enseignés dans la langue Ngabe, ce qui est vital si leur culture unique est de survivre. Et j'ai apprécié un flux continu de l'hospitalité que nous avons parlé dans les premières heures sous un ciel sans tache nuit par la pollution lumineuse. Le lendemain matin, Ricardo nous a donné une visite guidée du village, en expliquant le lien étroit entre son peuple et de la nature. J'ai été prise à une courte distance de la rive où une petite fille nous a montré une colonie de grenouilles de pluie Tabasará, l'un des espèces les plus rares dans le monde, qui se trouvent nulle part ailleurs sur la planète. Si le gouvernement a sa manière, tout cela sera inondée et les grenouilles disparaissent. Pourtant, à quelques miles en aval de Kia, le chantier de construction massive de Barro Blanco est une tache laide sur le paysage. Comme l'énorme barrage prend des formes, des gardes armés patrouillent le périmètre de garder les villageois loin. Lorsque le barrage est terminé, le village de Kia seront perdues. De Kia je me suis rendu au nord-ouest pour visiter villageois Ngabe qui avait déjà perdu de leur communauté. Ils avaient été faites sans-abri par un autre projet hydroélectrique l'année dernière, quand le puissant fleuve a été endigué Changuinola. Ici, j'ai rencontré Caroline. Sa maison avait été construite sur un terrain plus élevé que ceux de ses voisins dans le village de Guiyaboa, mais il n'était pas encore assez élevé. Le village se trouve désormais profondément sous l'eau et tout ce qui peut être vu, c'est le toit de la maison de la Caroline du, émergeant de l'eau comme un monument incongru. Elle m'a dit qu'elle et d'innombrables autres n'avaient reçu aucune compensation pour la perte de leurs terres, les cultures ou le logement. J'ai voyagé à travers la province de Chiriqui, la scène de la répression, et a rencontré et interviewé des survivants et les proches de ceux qui avaient été tués par la police. Je l'ai trouvé difficile de comprendre pourquoi ils étaient morts.Tout le Ngabe avait demandé, c'était l'occasion de parler au gouvernement - une concession que les autorités ont dû faire à la fin de toute façon. Il n'est pas surprenant que, loin des gratte-ciel étincelants de la capitale, un terrible sentiment d'injustice et de ressentiment couve sous la surface. Un appel de riches Panama Retour à Panama City, Jorge Ricardo Fabrega, puissant ministre du pays du gouvernement, a accepté de me rencontrer et d'expliquer du côté du gouvernement. Il a admis que les choses auraient pu être mieux gérées au Changuinola, mais a insisté pour que, durant les dernières mesures de répression de la police s'était comportée de façon très professionnelle. Il a tenu à souligner l'importance de l'énergie hydroélectrique pour l'économie en plein essor du Panama, puis a déclaré catégoriquement que rien ne serait autorisé à arrêter le projet Barro Blanco aller de l'avant. "Il ya une chose que je dois faire clair", at-il dit. "Nous n'allons pas annuler Barro Blanco. Le projet Barro Blanco est en construction et cela va continuer." Comme je l'ai écouté je pensais de Ricardo et les autres villageois dont l'avenir était décidée par le ministre et ses amis. A l'heure actuelle nouvelles avait eu autour de ce cinéaste d'Al Jazeera était dans le pays et que quelqu'un est discrètement passé moi un long document détaillant les futurs plans du gouvernement hydroélectriques. C'était une révélation. Le grand nombre des projets est saisissant, si ils ont tous aller de l'avant ils vont sûrement produire de l'électricité beaucoup plus que le Panama aura jamais besoin, quel que soit le dynamique ou à croissance rapide de son économie. Ce qui pose la question évidente: Que vont-ils faire avec toute cette puissance? A côté de chaque projet énuméré étaient les noms des chefs d'entreprise impliqués, un appel nominal des familles les plus riches du Panama. Il n'était pas difficile de mettre les deux ensemble. L'électricité est une marchandise comme une autre et s'il existe une capacité de rechange il peut être vendu à l'énergie consommateurs avides dans les pays voisins. Quelqu'un, semblait-il, allait devenir très riche. Sans surprise, ce document n'a jamais été rendu public. C'est alors que j'ai réalisé ce que Silvia Carerra, le Casica, était en hausse face dans ses négociations avec le gouvernement. Et sur mon dernier soir à Panama, j'ai eu la chance de la rencontrer. Malgré avoir été en place depuis le lever du soleil débattre avec les dirigeants Ngabe autres, elle trouve le temps pour une entrevue. Un charismatique de 41 ans, avec peu de la manière d'une éducation formelle, elle s'est trouvée bloquée dans les négociations avec le ministre, je venais de rencontrer. Cette femme remarquable est que tous les stands entre ses parents et 100.000 projets de développement qu'ils ne veulent ni besoin. Il doit être une responsabilité terrible. J'ai trouvé sa candeur rafraîchissante et la détermination. Elle m'a dit que même après tout le gouvernement avait fait l'Ngabe ne donnerait jamais po Mais en attendant, bien sûr, le travail à Barro Blanco et ailleurs qui se passe. Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement politique éditoriale d'Al Jazeera. |
